Au Tchad, il n’y aura aucune parution dans les kiosques ce mercredi 21 février. C’est une « Journée sans presse » décidée par l’Union des journalistes tchadiens en collaboration avec d’autres organes de presse tchadiens, pour protester contre les agressions que subissent les journalistes dans l’exercice de leur métier. Un ras-le-bol qu’exprime pour RFI Larmée Belrangar, président de l’Union des journalistes tchadiens.
“Lors de la dernière manifestation organisée par les étudiants tchadiens, les locaux de la radio Oxygène ont été violés par les policiers qui pourchassaient les manifestants.”
rfi